Bien avant notre ère, la ventouse a été quasiment le seul moyen efficace pour soigner, guérir et surtout réguler tous les problèmes sanguins, entre autres, l’AVC (Accident Vasculaire Cérébral) n’avait pas lieu d’être ; maladie dont la médecine dite moderne n’arrive pas à guérir les séquelles.
Pour l’individu qui bénéficie d’une séance de ventouses, réalisée par un ventouseur traditionnel, l’AVC n’aura jamais d’emprise sur lui.
Je tiens à vous rappeler, qu’il n’existait pas de somnifères, ni des cachets divers, ni d’antibiotiques à l’époque de nos ancêtres, et pourtant ils ne se portaient pas si mal que cela. Ils dormaient même merveilleusement bien. La ventouse soigne le petit comme le gros bobo. Je n’ai pas envie ni ne peux, ni ne veux vous faire un roman car je ne suis pas capable de témoigner des bienfaits de la ventouse.
Le vide relatif créé dans la ventouse dilate les pores et les vaisseaux sanguins superficiels (capillaires). Ceci produit une congestion cutanée localisée sur le site de l’application du vide, traduite par un changement d’aspect de la peau qui rougit et se couvre de points rougeâtres à violacés. Cette congestion provoquée localement, audessus de l’organe malade est réputée attirer les humeurs ou le « mauvais sang » ou l’excès de sang qui congestionne un organe sous-jacent.
Ce moyen médical encore utilisé en Europe et aux États-Unis au début du XXe siècle n’est plus enseigné par la médecine contemporaine dite « moderne ». On le classe donc dans les médecines dites « traditionnelles ».
Dans la médecine chinoise traditionnelle, les ventouses sont appliquées à des endroits précis correspondant à des points d’acupuncture choisis en fonction du trouble à soigner. Dans ce cas, le guérisseur ou le thérapeute pose d’abord la ventouse sur la zone à traiter, ensuite il ote la ventouse, il applique des points à l’aide d’une aiguille (l’endroit est anesthésié du fait de la succion), on ré applique la ventouse pour aspirer le mauvais sang et les toxines.
La dépression due au vide crée un phénomène d’aspiration qui entraîne un afflux sanguin dans la région où les ventouses sont appliquées. Celles-ci sont ensuite déplacées sur les zones où sont logées cellulite et graisse. En générant une « congestion locale », ces zones, qui sont généralement mal ou très peu irriguées, peuvent ainsi être « réalimentées ».
Le sang étant le véhicule de l’énergie, pour la médecine chinoise, la ventouse permet donc de dynamiser le sang et le Qi (énergie en chinois).
De légers bleus peuvent apparaître suite à l’application des ventouses… Un mince désagrément lorsque l’on a trouvé un allié efficace pour lutter contre la cellulite et les gonflements !